Les peuples germaniques et le peuples nordiques (Danois, Islandais, Norvégiens) ; les peuples allemands, les Autriches, les Suisses Alamans ; les Flamands, les Néerlandais, les Luxembourgeois et les peuples d’origine anglo-frisonne (Frisons et Anglais), sont différents par rapport à nous. Il faut le dire !
Les historiens contemporains, de plus, sont adressés à considérer le phénomène des “invasions barbares” comme ordinaire genèse des peuples et comme propre invasion seulement celle des Huns.
Vandales et Alains, avec leurs destructions, ont été racontés par saint Jérôme.
Il s’agit d’événements historiques oubliés ?
Ça pourrait être, mais ils sont ramenés à l’esprit par une certaine Europe qui semble hostile vers nous, italiens, au cours de ces jours pendant lesquels même le Président Giuseppe Conte réussi à démontrer de savoir s’engager sérieusement pour son Pays.
Par contre avec la France histoire, culture, société et spiritualité représentent des grands points de proximité entre nos deux pays, qui ont les Alpes comme charnière et des habiles tailleurs, du calibre de De Gasperi, Schuman, Spinelli, Monet.
Et quoi dire par rapport à la victoire de Napoléon Bonaparte à Marengo afin de renvoyer les Autrichiens au-delà de la plaine du Pô, pour se ratatiner derrières les Alpes ?
Et là on veut mentionner les Légionnaires français qui prirent part à la Guerre de la Crimée avec les piémontais à Sébastopol, puis à Magenta, Solferino et Montebello contre les Autrichiens.
La France et l’Italie ont vécu ensemble la Résistance à la folie des Allemands pendant la Seconde Guerre Mondiale.
Emmanuel Macron s’est engagé pour surclasser les difficultés produites par les Pays riches du Nord de l’Europe et il a affirmé qu’il reste à côté de l’Italie surtout en ce moment où l’ennemi véritable n’est pas quelqu’un qui vient d’une autre nation, mais c’est le Covid-19, qui effraie, tourmente, trucide milliards de personnes abandonnées à la fin d’une existence sans l’aide des proches et seulement l’éloignement, la “distance sociale” qu’on a appris ça fait 36 jours, dès le premier confinement de Codogno. En France, on parle des “cousins italiens”, expression qui évoque l’image de la famille, dans laquelle, même si on peut arriver à se disputer, les liens doivent toujours être forts, résistants. On sait en Italie qu’ils sont des cousins toujours un peu renfermés, mais c’est comme ça en famille, les belles cousines on les aime ainsi qu’on les envie mais “La famille d’abord”, c’est la devise depuis toujours !